Nos propositions pour le médicament biosimilaire

  • Diffuser une information objective et officielle sur les médicaments biosimilaires auprès des professionnels de santé, des décideurs en santé et des patients afin de créer un climat de confiance
     
  • Créer et diffuser une liste de référence des médicaments biologiques similaires, définie par l’ANSM (comme cela est prévu dans la LFSS 2014), permettant aux professionnels de santé de disposer d’une information complète sur les alternatives thérapeutiques possibles.
     
  • Favoriser la mise à disposition précoce des médicaments biosimilaires  dans le cadre strict défini par l’AMM européenne
     
  • Et notamment établir un processus d’évaluation spécifique simplifié au sein de l’HAS, qui tienne compte des spécificités de développement des médicaments biosimilaires (démonstration de la biosimilarité, extrapolation des indications…)
     
  • Réaliser et diffuser des recommandations médico-économiques par classe (HAS) favorisant l’utilisation la plus efficiente des médicaments ayant les mêmes bénéfices thérapeutiques pour les patients
     
  • Inciter les établissements hospitaliers à référencer au moins un médicament biosimilaire par classe
     
  • Mettre en place des objectifs de prescription des médicaments biosimilaires au sein de chaque classe en s’appuyant sur les recommandations de l’HAS.
     
  • Inclure ces objectifs de prescription par classe soit dans le Contrat de Bon Usage (CBUMPP) des établissements de soins afin de contribuer à la maitrise des enveloppes des médicaments de prescription hospitalière délivrés en ville (PHEV) et/ou des médicaments de la liste en sus soit dans le cadre de ROSP pour les médicaments utilisés en médecine libérale
     
  • Réinvestir de façon précise et fléchée une partie des économies réalisées grâce à l’utilisation des médicaments biosimilaires afin de favoriser la recherche, la formation et l’éducation thérapeutique.